Site et monument historiques

Cette église est dédiée à Saint-Ours d'Aoste. Son architecture surprend dans ce charmant vallon savoyard car elle est de pur style italien 1850 rappelant les basiliques toscanes.

La Chapelle Notre Dame du Pardon, dite "des bergers", érigée en 1880 par Mme Stéphanie Nambride.

L'église de Neuvecelle est située dans la paroisse de Saint-André en Gavot-Léman, dans le diocèse d'Annecy. Dédiée à Saint Nicolas, l’église est construite à l’intérieur de l’enceinte du Château de Neuvecelle, à l'origine propriété des seigneurs du lieu.

Eglise Paroissiale dédiée à Saint Pierre (1890-1892).

La chapelle, anciennement église paroissiale, est protégée au titre des monuments historiques depuis le 30 Juillet 1921. Les visites se font sur demande au près de la Mairie de Neuvecelle.

La place du marché est le cœur économique de la cité médiévale. Elle est placée à l’aplomb du château et près du rivage où les embarcations abordent sur la grève.

L'église paroissiale dédiée à Saint-Maurice fut reconstruite entre 1814 et 1825. Le chœur est la partie la plus ancienne de l'église.

La chapelle est édifiée entre 1752 et 1754 sous le vocable Notre Dame des Sept Douleurs.

Monument votif à la Poétesse Anna de Noailles. Le jardin votif descend vers le rivage, orné, sous un petit monument en forme de rotonde, d'une stèle commémorative. Parc public ouvert toute l'année.

Eglise paroissiale dédiée à Saint-Jean-Baptiste (1894, construite en remplacement de l'ancienne église située au Plan de Chevenoz).

La chapelle de Lyonnet, érigée en 1860, a fait l’objet d’une restauration dès 1993.

Les rues étroites et tortueuses qui entourent l’église Notre-Dame de l’Assomption restituent bien l’atmosphère du quartier franc, le plus ancien de la ville, resserré à l’intérieur de ses remparts.

Eglise de la commune franco-suisse de Saint-Gingolph.

Construite vers 1900 pour Charles Taillefer, avocat-conseil de l'ambassade de France à Londres, puis intégrée dans le complexe thermal du Châtelet, cette grande villa agrémentée d'une tourelle ressemble à un petit château.

La Savoie, dont le port d’attache se trouve à Evian, est la réplique d’une barque de 35 m à voiles latines, construite en 1896 près de Genève pour une famille de bateliers de Meillerie, les Péray.

Ce bâtiment, aujourd’hui résidence privée, est lié à plusieurs temps forts de l’Histoire du XXe siècle.

Un carillon de 12 cloches, de fabrication savoyarde, agrémente tous les jours le village de Saint-Gingolph de ses mélodies.

Monument en hommage aux 8 victimes de l'occupant et en souvenir de l'incendie du village le 23 juillet 1944.

Idéalement situé au bord du Lac Léman, le Château de Ripaille réunit une originale combinaison d'architecture médiévale et de style 1900. A elle seule la visite du château justifie le dicton : " Qui n'a point vu Ripaille, n'a jamais rien vu qui ne vaille"

La Chapelle de Chez Portay date de la fin du XIXème siècle. Cette Chapelle appartient aujourd'hui à la commune de Féternes.

Située au cœur du village, à la jonction des deux domaines skiables de la station et ouvrant un magnifique panorama sur la vallée d’Abondance et les sommets franco-suisses, la sculpture musicale fait partie du paysage visuel et sonore du village.

La Chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de la Beunaz est construite en 1840 et oratoires représentants les situations du chemin de croix (1970).

Une maison-forte se dressait au XIVe siècle sur cet emplacement. Elle contribuait à la défense du quartier neuf de la Touvière, situé hors de l’enceinte de la ville.

A l'église paroissiale de Meillerie, un prieuré a été fondé au Moyen Age par les chanoines de Saint-Augustin, dépendant de l'hospice du Grand Saint-Bernard. Le clocher et le chœur de l'église sont inscrits au titre des monuments historiques.

L’ouverture de la gare des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée, en juin 1882, a été déterminante pour l’avenir de la station. Evian est désormais reliée aux grandes lignes françaises par Annemasse et Thonon.

Dédiée à Saint-François-de-Sales et Sainte-Jeanne-de-Chantal, elle est bâtie en 1784, en commémoration d'un terrible éboulement qui avait épargné la vie des habitants du hameau. Elle est adossée à un immense rocher de 520 m3.

Ce pont chablaisien, l’un des plus anciens, avait déjà en son temps, l’objectif d’un désenclavement des rives du Léman en les reliant aux vallées hautes d’Abondance, de Morzine, du Brevon et du Faucigny, jusqu’au Valais.

On trouve trace d’une chapelle dès les premiers temps de l’évangélisation des bords du Léman (autour du VIème siècle).

Eglise paroissiale Saint-Pierre datant du milieu du XIXème siècle, consacrée en 1847.

Le château de Saint-Gingolph, construit entre 1585 et 1588, et sa dépendance (appelée maison des Sœurs ou maison de Rivaz-de-Nucé), tous deux classés biens culturels d'importance régionale, reflète le passé seigneurial du village.

La Chapelle des Faverges ou Chapelle de la Sainte‐Famille fut construite en 1843.

La construction de cette villa de plaisance est entamée par le baron Jonas Vitta en 1892 et achevée après son décès par son fils Joseph, grand collectionneur d’art.

Cette église de style néo-gothique a été bâtie en 1908 sur les plans de l'architecte annécien Fleury Raillon, avec des pierres extraites des anciennes carrières du Saix. Pour connaitre les horaires des messes rendez-vous sur le site internet.

Ce luxueux hôtel de 250 chambres est construit entre 1906 et 1909 pour une filiale de la Société des eaux minérales, sur les plans de l’architecte parisien Albert Hébrard.

Maison aristocratique valaisanne du XVIIIe siècle.

La chapelle de Laprau est dédiée à l'Immaculée Conception et construite en 1847.

La Chapelle Saint Jacques située au hameau de La Ville du Nant date de 1655.

L’Hôtel Splendide, détruit en 1983, est lié aux grandes heures du thermalisme évianais.

La construction de l'église Saint Maurice a commencé au XIVème et s’est achevée au XVIIIème. L'édifice actuel est une reconstruction de l'époque sarde du XIXème siècle, restaurée en 2008.

Châtel compte également une vingtaine d'oratoires (lou perdons), anciens ou récents, entretenus au fil des générations.

L'église de Saint-Paul : ancien prieuré, fait parler de lui grâce à son clocher à bulbe.

Durant la Grande Guerre, un demi-million de civils considérés comme des « bouches inutiles » sont évacués par l’Allemagne des régions qu’elle occupe dans le nord et l’est de la France.

L'église paroissiale dédiée à saint Pancrace puis à sainte Marie à été construite vers 1763, et la construction de son clocher vers 1889. Suite à un incendie en 1924 l'église fut reconstruite.

Pour le touriste qui aborde Evian, la découverte de la ville depuis le lac est toujours spectaculaire. L'arrière-plan des Mémises, les quais fleuris et les bâtiments historiques en front de lac forment un tableau souvent décrit avec admiration.

Située en plein cœur des alpages et du domaine skiable en hiver, elle est adossée à un rocher autrefois surnommé "la Pierre aux Loups" ou "Pierre maudite", à l'emplacement d'un ancien oratoire.

La chapelle Saint-François-de-Sales, au Fion, est érigée entre 1868 et 1869, et bénite le 18 mai 1868 : la date 1865 est gravée sur la clef d'arc passante du portail

La Chapelle a été entièrement décorée par le Père Igor, spécialiste en iconographie mondialement reconnu, et ses élèves.

La magnifique église de Thollon-les-Mémises a été construite au XIXème siècle dans un style sarde. Située au cœur du village, elle est libre à la visite tous les jours de l'année.

Situé dans le bassin lémanique, en Chablais, entre Thonon et Annemasse, le château s'étend sur un domaine privé de 15 hectares à flanc de montagne. Inscrit Monument Historique, il à été magnifiquement restauré et a retrouvé tout son cachet médiéval.

Bâtie dans la seconde partie du XIIIè siècle, sous le règne du comte Pierre II de Savoie, l'église d'Evian appartient au premier art gothique savoyard.

Construite au cours de la première moitié du XXe siècle, la chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de Champeillant, ou appelée localement la chapelle de Champeillant, est un édifice catholique situé à Féternes sur le plateau de Gavot.

Demoiselle Pernette Grenat, « native et bourgeoise d’Evian », a attaché son nom à cette maison qu’elle lègue en 1355, ainsi que ses biens, à l’hospice-hôpital fondé quelques années plus tôt

Bâtie dans les années 1920, cette scierie a d'abord utilisé la force hydraulique de la Dranse. Elle fut électrifiée au milieu du XXème siècle pour remédier aux variations saisonnières du débit du torrent.

L’actuel casino est construit en 1912 par l’architecte Albert Hébrard à la place du château des barons de Blonay, détruit l’année précédente.

Le Palais Lumière a été ouvert en 2006 après deux années de travaux de rénovation. Cet ancien établissement thermal de 1903 à 1984 a gardé toute sa splendeur et est aujourd'hui un centre culturel et de congrès.

Chaque année au mois d'aout , le théâtre accueille les estivales théâtrales et ses comédies de boulevard.

En rez-de-chaussée, rue Nationale, un espace d’info-vente permet de comprendre la grande histoire de l’eau minérale naturelle evian. Côté avenue des Sources, la rénovation du bâtiment a permis l'ouverture du clos couvert à l'été 2023.

La villa Dollfus ou villa des Hortensias, est représentative des maisons de plaisance de la Belle Époque construites au bord du Léman par la grande bourgeoisie d’affaires.

En matière d’habitat, chaque région a sa spécificité. Dans les Alpes, d’une vallée à l’autre, d’un village à l’autre, les structures et matériaux de construction sont différents : la pierre remplace parfois le bois, la cheminée n’est pas la même partout.

On doit sa forme en toile de tente à l’architecte Maurice Novarina. Des lignes sobres, surbaissée. Elle est coiffée d’une imposante toiture couverte de cuivre qui rappelle sa proximité avec les campings alentours.

Fondée au XIIème s. par des chanoines et occupée par des moines cisterciens dès le XVIIème s., l’Abbaye d’Abondance a été supprimée en 1761. Celle-ci dévoile la puissance d’une architecture gothique de montagne et recèle de fabuleux trésors artistiques.

En plus de faire partie du patrimoine historique, la chapelle accueille tous les jeudis en juillet et août une soirée à but culturel en invitant des artistes locaux

L'église paroissiale Saint-Martin de Tours construite en 1724 grâce au financement d'Anselme Boujon qui a donné son nom à la place au-devant.

L'église Notre-Dame-de-l 'Assomption de Féternes est un lieu de culte catholique construit au chef-lieu de la commune de Féternes.

Située au centre du village, la Chapelle Notre Dame de la Compassion a été bâtie en 1661.

Eglise paroissiale Sainte-Marie-Madeleine de Maxilly.

L’église Notre-Dame de l’Assomption d’Abondance, autrefois église de l’abbaye du même nom, a été bâtie à la suite d’un premier lieu de culte dont on ignore tout.

L’église de Publier surplombe fièrement le majestueux Léman. Construite dans le style néoclassique sarde entre 1826 et 1831, elle a subi dernièrement une importante rénovation. Elle présente aujourd’hui un aspect plus contemporain.

Ancienne résidence d'été de la famille lyonnaise LUMIERE , cette somptueuse villa de style classique français inspiré de la Renaissance est devenue l'Hôtel de Ville en 1927.

Le château d’Evian a été l’une des résidences favorites de la cour de Savoie. Aménagé par le comte Pierre II au milieu du XIIIe siècle, c’est une enceinte carrée de 45 m de côté, gardée à chaque angle par une tour ronde.

Fondée en 1630 au bord de la route du Pas de Morgins, elle est placée sous les vocables de Notre-Dame-des-Neiges, Saint-Bernard et Saint-Martin. D'abord très modeste, elle a été agrandie en 1886, et dotée d'un clocheton et d'une Vierge dorée.

L'édifice, placé sous le patronage de Notre-Dame-de-l 'Assomption, est construit au XIIIe siècle à proximité du château de Féternes (1,5 km à l'ouest du centre) et dépendait de l'abbaye d'Abondance.

La source Cachat - l'ancienne fontaine Sainte Catherine - est la plus célèbre des nombreuses sources d'Evian. Construite en 1903, comme la Buvette Cachat qui lui fait face, elle coule toute l'année à une température constante de 11,6°C.

Chapelle construite en 1677 par la famille seigneuriale de Riedmatten, elle appartenait à l'origine au diocèse de Sion. De nos jours, bien qu'étant en Suisse, elle est rattachée au diocèse d'Annecy.

Destiné à remplacer la Buvette Cachat, devenue inadaptée, ce bâtiment est implanté par la Société des eaux minérales dans le parc de l’ancien Grand Hôtel d’Evian, détruit après la Seconde Guerre mondiale.